« Les idéaux émanent-ils du cerveau? » – me demandai-je en fixant le ciel, bras croisés, les mains sous les aisselles.
« C’est une vaste question » – me dis-je en me grattant le menton.
« Mais qui est le codeur, qui provoque toutes ces humeurs? » – ajoutai-je en regardant l’heure.
« Les ors mornes sont-ils influencés par les hormones? »
« Don Quichotte était-il une ‘chochotte’?
« Notre destin est-il tracé avec des règles, est-il scellé ou celé?- pensai-je en me frottant le nez.
« Suivons-nous le rythme, de nos algorithmes, ou la candeur, d’un buisson en fleurs? »
« Prenons-nous des décisions, au son du clairon? »
« Les maux de nuque, est-ce parce qu’on nous éduque, est-ce qu’on nous élève, pour assurer la relève, commandés par des Ducs, produisant des eunuques? »
« Les libertaires préfèrent-ils taire, impunément tout argument qui, ici bas, mène au combat? »
Pas de oui, pas de non, ni de coup ni de marron, mais une paix intérieure qui est le récepteur, d’une réalité animée, par une inspiration…
Ephémérité d’un effet mérité? Le coeur à foison, ignore la raison pour laquelle, je vous le rappelle, on nous prend pour des cons, à chaque saison…
C’est notre logiciel, intellectuel, qui programme nos missions, pour que nous survivions
A tort ou à raison, puisqu’un jour nous mourrons, sans toutefois rendre l’âme, pour que nous renaissions,
Des mains de la Sage-femme, qu’est notre constellation…
Vincent Poitier, alias « le Pensiologue«
27 janvier 2021
Copyright, tous droits réservés