Volontairement tordu et subliminal, ce billet pourrait vous laisser de marbre, mais entre les lignes, il n’y a pas que du blanc…
Jamais polémiste, je propose des pistes… Demeurant quelques fois vierges, elles évitent la glisse…
Que vous soyez moral, immoral, amoral, ou que vous viviez à Balmoral, quel éthique êtes-vous?
Suivez-vous les règles sans faire un con pas, au risque de n’être plus d’équerre et de recevoir un coup de latte par un aristo ordonnant que la « polis » t’y règne expansée par la dîme?
Il arrive que la « jury diction » renvoi l’homme aux stères, rallumer la flemme, confiné dans une cale feutrée où il fait des rations d’alcool en tas…
On le retrouve alors, des os pilés, devant la télévision, à l’article de la mort, secoué par des orages médiatiques entretenant sa gueule de bois et des hontes au logis…
A quand la pansée collective où aucune règle ment?
Si le delta est ensablé, est-ce la faute aux voltaïques?
Est-ce que cela valait le coup de laisser Greg à Sion prier sur la chaise baissée? (Si vous avez celle-là, vous êtes fortiche!)
Anesthésié par des obsédés textuels, par des légistes hâteurs, l’endormi se ment, las des pressions, con-quérant la pitance, éludant la pénitence…
C’est légitime, mais pour combien de temps encore…
Même le moral ment, parfois… La pensée à l’unisson n’est pourtant que déraison…
Le bien et le mal font partie d’un paradigme variant selon divers paramètres de lieu, de culture, d’époque, de contexte, de croyance…
L’intérêt général est illusion, car il ne considère pas de cas particulier…
La règle prévaut là où le bons sens fait défaut…
A chacun d’y voir, en son âme et conscience, l’intensité de sa présence…
Vincent Poitier, alias « le Pensiologue »
27 décembre 2021.
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