Ce billet a-t-il vocation à améliorer le taux de pénétration de mon blog sur les réseaux sociaux?
Certes non, je ne brigue pas l’érection d’une statue à mon effigie ni ne souhaite accéder à une cotation en bourse…
Le goût du lucre n’en est pas plus le leitmotiv. J’aime trop jouir de liberté d’expression sans engager de triviales poursuites…
L’idée et la conscience que le septième ciel est habité par une divinité putative fonde ma grosse quête, exempte de bittes d’amarrage mais non d’ancrage, ce qui nourrit mes velléités d’encrage…
Le corps étant un véhicule de l’âme, je ne porte jamais de ceinture de sécurité…
Cette âme habileté est une réponse affable à l’égard de toutes les tentatives de fourvoiements auxquelles je ne peux systématiquement échapper…
Réfugié sur le Mont de Vénus à la moindre occasion, j’ouïs « Les trompettes de la renommée » de Georges Brassens, sentant frémir mon corps au diapason d’une douce oraison sonnant à chaque fois l’illusion du glas de ma vie à trépas…
La quête sans frein et sans fin dont j’ai toujours faim justifie tous les moyens…
Et puisque la vie sur Terre est éphémère, gageons que ce texte à peine polisson entre au Panthéon de la littérature érotico-spirituelle, dans une dimension qui échappe à toute raison consensuelle…
Vincent Poitier, alias « le pensiologue »
30 mai 2022
Copyright, tous droits réservés.