Préambule:

Ces derniers temps j’ai réfléchi, j’en ai même parlé à mon psy,

J’voulais tellement vous dire merci…

Ça paraissait trop attendu, alors je vais vous parler d’cul…

Est-ce que tout l’monde est bien majeur? Sinon faudra que j’aille voir ailleurs…

Bien sûr c’est l’histoire d’un ami, qui n’a pas pu venir ici…

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Je préfère tirer un bon coup, plutôt que de me faire une ligne,

C’est sûr car à tous les coups, on en demeure plus digne…

Reste la question du consentement, il faut convaincre la cantatrice,

Et si Popaul ne tient pas l’coup, y a plus qu’à passer à la ligne…

« Achtung bitte, ich möchte gern« , que mon engin s’mette pas en berne…

Sinon faudra que j’me résigne, à baiser sur ces quelques lignes…

De cantatrice à castratrice, tu tombes de haut dans les délices,

Et pourtant on est si complices, qu’on sait parler de tous les vices…

Désir suprême de cette sirène, que j’tombe de haut de mon bateau,

Sortir les rames à mon grand dam, tenter de séduire cette belle dame,

Chaque jour qui passe, que ne trépasse, ce désir dont je perds la trace…

Que reste-t-il de nos amours, si le désir se prend un four…

Faut-il déposer sur l’autel, cette sacrée tension sexuelle?

Pulsion bénigne ou même maligne, il reste que je m’en indigne…

Pour qu’la question parte pas en couille, vaudrait mieux que je me débrouille,

Offrir un oeuf de Fabergé, ou alors trouver son point G...

La chose reste délicate, surtout quand c’est « bas les pattes… »

Et si mon organe se pavane, faudra pas en faire tout un drame,

J’lui dirai d’aller à la niche, qu’on jouera pas avec ses miches…

Faut faire un noeud dans sa cravate, quand elle t’envoie dans Les Carpates…

Vincent Poitier, alias « le pensiologue »

07 juin 2025.

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