Toutes les satires s’attirent, mais parfois trop, ça tire…

Faut pas pousser quand-même…

Il arrive que les mots que rient toutes les moqueries se décomposent lorsqu’on les compose.

On expose les éclats de rires qui explosent toutes nos névroses.

On s’paie la trogne de ces ivrognes qui, titubant, inspirent les mécréants qui conspirent…

T’as vu c’ui-là comme il est con! I’s’moque de tous ceux aux balcons,

Qui pensent d’un air moribond, que leur piédestal leur donne raison…

Plus c’est gros plus ça passe, tes potes iront sûrement vers la masse.

Et quand ça t’arrive, tu pars aussi à la dérive, tu joues le jeu, si y a pas trop d’enjeu…

C’est ainsi, c’est comme ça, t’as des amis ou bien t’en as pas.

Faut-il vendre son âme au diable, pour pas porter sur son râble, la vraie identité qui fait pas société?

Qui à convaincre, lesquels veux-tu vaincre?

Des imbéciles, qui lèveront pas un cil, pour défendre ta cause, quoi que tu leur proposes?

C’est parfois dans l’errance, qu’on toise l’ignorance,

Et dans la solitude, qu’on prend l’habitude, des turpitudes des cas de conscience…

Pollue pas ton essence, fais pas la révérence, laisse pisser les moutons, accorde-leur ton pardon…

Pas besoin qu’on valide, la pensée invalide,

Ce que tu es « Est ton Cap« , pas un handicap…

Vincent Poitier, alias « le pensiologue. »

17 juin 2025.

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